Le vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme (LTDH), Bassem Trifi a déclaré qu’il n’y a «aucune raison d’utiliser les armes dans l’affaire de Mohssen Zayani.»
Invité de Studio Shems vendredi, Bassem Trifi a précisé que «le recours à l’arme n’a pas été progressif, surtout que Zayani n’a pas été en position d’attaque, lors de l’opération de saisie. »
L’avocat a estimé que «l’Etat aurait dû s’excuser suite à la perte humaine sans raison, » considérant que ce qui s’est passé est un « crime.»